O R O U G E .
Visite de la coopérative du safran à Taliouine; thé au safran, savon, huile corporelle, baume pour les lèvres, tajine, pâte, riz safranné…Du plaisir pour tous les sens et une belle page culturelle. 35 dirhams le gramme d’or rouge. kikenveu ! Bon week-end à tous
Thé BéRBéRe oU Tu Lait pAs !
Bon on va se reposer et on revient…Bon week-end. ( Mohamed – Gorges du Daddès )
ALLO ICI LA TERRE !
Reliefs du Djebel Sagho – Piste Gandini H2 Nord-sud de Boumalne du Dadès à Imi n ‘Kern –
Un chouia d’internet pour vous dire que nous ne sommes pas perdus, où alors si nous le sommes c’est de la faute de Gandini et ses guides de ouf. D’ici quelques jours, si nous retrouvons notre route dans le désert et une haute connexion internet, nous partagerons avec vous nos aventures marocaines en photos et minis-vidéos… A bientôt, sous le soleil…exactement.
O F F ‘ S H O P P !
Piste GT1 entre Boudnib et Merzouga.
On vous prépare un ch’ti résumé de notre semaine off-road…En attendant bon week-end à tous.
Dernier bivouac “in and out”…
…avant l’arrivée de nos amis Philippe et Caroll venus défier les cailloux avec nous… Depuis notre chambre à coucher du Cap des trois fourches, nous regardons le bateau arriver avec le lever du soleil avant de redescendre de notre montagne pour aller les rejoindre au meeting point .
La suite plus tard….
Pour infos plus de sms et pas beaucoup d’internet donc on répond plus tard…
Quels ânes…nous sommes!
Durant notre précédent périple, nous avons parfois galéré durant des jours voire des semaines pour trouver comment remplir nos bombonnes de gaz, et avions juré alors de ne jamais plus être dépendants de ce fichu gaz, même naturel; d’où notre cuisinière, chauffe-eau et chauffage au gasoil dans notre nouveau camion. Alors quand nous voyons toutes ces bouteilles qui nous narguent nous nous disons que nous sommes à l’image de cet élégant porteur…;0) Plus sérieusement, nous regardons ces bouteilles bienheureux de ne plus avoir à s’en soucier et du coup, elles nous paraissent tellement jolies qu’on n’a pu s’empêcher de vous en faire profiter! Alors belle journée et que ça “gaz” pour vous! Et, plein gaz pour Fifi et Caroll qui nous rejoignent jeudi pour une semaine de caillasses…off road et off gaz.
Bienvenue au Maroc
Médina de Chefchaouen. (photo hdr.)
Bon Week-end & Bonnes Vacances…
A cheval, à pied…où en ferry…c’est parti!
LE MAROC A 26 MILES MARINS.
Tarifa, sa mer houleuse et son vent à décoiffer un chauve, ses beaux couchés de soleil et sa ligne d’horizon sur laquelle apparaît en ombre diffuse, notre prochaine terre d’escale; nous franchirons bientôt Gibraltar pour continuer notre périple sur le continent nord africain; les prochaine photos seront-elles marocaines?
LE TRESOR DE L’ESPAGNE….
…est a Cadix. Il semblerait que la baie de Cadix contienne dans ses profondeurs deux cents bateaux remplis d’or; ce qui pourrait sauver l’Espagne de son économie difficile. Pourtant nous n’avons vu aucune embarcation ni plongeurs dans les environs. Si ce trésor était caché dans la baie de Marseille, n’y aurait-il pas déjà 300 navires et tout autant d’hommes grenouilles accaparés à sonder les profondeurs et pas une seule sardine sur le vieux port;0)
Cimetière Marin…
…et pas un nénuphar !
C A L I E N TE !
Bon week-end de Cordoba, ville fort agréable (30 degrés) que nous avons trouvée toute tranquille et nonchalante, et où nous ne sommes plus ;0)
T A U R O G A C H I E !
Corrida dans la magnifique arène de Séville; après insistance de notre guide Philou, nous nous sommes laissés tenter par cette page culturelle, image d’une Espagne, du coup, un peu rétrograde à nos yeux. Ce qui est certain c’est qu’une fois c’est assez… et même trop, pour nous.
La corrida se déroule en 3 temps:
la première étape, le tercio de varas, où la vigueur du taureau est testée premièrement par les peones (aides), qui courent se réfugier derrière les renforts de l’arène dès que la bête les charge, puis par le matador qui réalise quelques pas de danse avec son cavalier hors norme, nous offrant alors l’unique instant éphémère de beauté de la corrida avant que n’interviennent (très rapidement, après à peine 5 passes) les picadores; montés sur leur cheval hyper-protégé (au moins ça) ils fragilisent la bête en lui enfonçant généreusement une lance dans la musculature de ses épaules. Se mesurer à la bête imposante ok, mais croire qu’on va lui laisser sa pleine puissance et une chance d’encorner un habit de lumière…) (On sait bien que le risque est réel;0)
Et c’est le tercio de banderillas qui commence, où les banderillos attisent la colère du taureau et lui enfoncent des paires de banderillas dans les muscles des épaules, toujours. A ce stade le taureau est bien sanguinolant et semble avoir perdu de sa vigueur; d’ailleurs, s’il semble trop épuisé, il se fait siffler comme une m…voire même sortir pour une mise à mort en coulisse avant d’envoyer son remplaçant.
Enfin, arrive le tercio de muleta, durant laquelle le matador provoque l’animal blessé pour un dernier ballet final en abaissant sa cape rouge obligeant ainsi le taureau à baisser l’échine pour venir lui planter son épée pour l’estocada finale, la mise à mort; vision d’une mort brutale où la beauté vigoureuse de l’animal est piétinée par cet affaissement massif définitif.
Ensuite, du balais et… au suivant!
Voilà notre ressenti, sachant qu’il n’est certainement pas au goût de tous nos amis espagnols et conscients que nous ne maîtrisons pas cet art.
M U Y F U E R T E.
Belle soirée culturelle riche en émotion devant ce spectacle de flamenco, enivrant et intense tant au niveau du chant que de la danse. Heureusement, nous ne comprenions rien aux paroles, nous aurions alors risqué une larme à l’oeil; de fait, nous nous sommes contentés d’avoir la chair de poule;0) La Carboneria à Séville.