… The Green Rosella de Léna. Cliquez sur la photo pour voir son reportage ;O)

…par le petitjurassien. Si vous voulez  lire et voir un mini reportage photos sur le voyage, réalisé par une p’tite famille du jura vaudois, cliquez sur le petitjurassien ci-dessous. Vous pouvez laisser vos impressions en cliquant sur le petit bonhomme qui sourit…où pas à la fin où encore, laissez un commentaire comme vous le faites si bien sur notre site ;O).

Vache-punk où vache à crête du nord-est de Tasmanie, Mont William national parc.

http://www.lepetitjurassien.ch/carnets-de-voyages/idriveadream-3

..not for everybody,les bleus ont perdu contre les rosbeef, pas de barbaque remuée..ah ces frogs!

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Mer d’un bleu translucide et glacial, au sens propre comme au sens figuré et roches de granit piquées de lichens orange sur sable blanc. La ” Bay of fires” du côté de Mont William national parc, offre quelques palettes de couleurs contrastées à donner le tournis au canon à Philou. Côte nord-est…Tasmanie toujours. Va falloir qu’on avance, non de bleu!

Ce week-end y a ” de la barbaque à remuer”…dimanche 16 h. Bon week-end ;O)

Poétique non, cet escargot de mer de la plage de Friendly Beach! ,Freycinet, Tasmanie

… Wineglass bay depuis le mont Amos, une merveille classée dans les plus belles plages du monde…par beau temps ;O)

…de 2 cm de hauteur – Fossile bay –

Les “painting rocks”*, Maria Island. Ces formations de grès décorées de splendides arabesques aux tons chauds, dressées au pied d’une mer turquoise, ont la particularité d’avoir gardé des couleurs très vives, grâce aux gouttelettes d’eau chargées de fer qui les infiltrent.

Petites gouttelettes pour effet majeur…

… une partie de la faune à Maria Island. Wombat et kangourou, deux marsupiaux bien différents. Nous, on adore! Plus de détails et de photos dès que les enfants auront pondu leurs reportages…et vous avez le droit de leur mettre la pression ;O)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous avons troqué nos luthes et tambourins, cerceaux et balles à jongler contre 4 vtt pour 3 jours de rando à Maria Island. L’île, située à seulement 40 minutes de bateau de Triabunna sur la côte est de Tasmanie est interdite aux voitures et a été classée en Parc National depuis 1972. Si ce ne sont quelques rares vestiges de la sombre époque des forçats ainsi que de rares maisons formant le bourg de Darlington, point d’entrée du parc, l’île n’est autre qu’une terre sauvage, peuplée de kangourous, de wallabies, de wombats, possums et rat des mers ainsi que d’une multitude d’oiseaux splendides dont les Rossella jaune et les cacatoès noirs. Ici tout est beau et harmonieux et l’énergie qui circule sur cette petite île de 22km de long sur 13 de large et 711 mètres en son point culminant du Mont-Maria, nous donne des ailes. Encore plus que partout ailleurs en Tasmanie, le temps est lunatique et nous passons des t-shirts aux gants, triple-couches de polaires et sous-vêtements thermiques. Une chose est certaine, nos tentes tiennent bien et le vent et la pluie! Après une traversée aux vagues parfois impressionnantes, nous réintégrons nos 12 mètres carrés, véritable palace, avec plaisir. Allez, pas de panique, Philou vous concocte une petites séries de photos de cette île de beauté. A demain.

Bon week-end…c’était prévu ;O)

… en bateau, puis à pied et en  bikes avec nos tentes, couchage, gortex de la tête au pied, réchaud, casseroles, riz marrocain déshydraté et tout le tralala. Bref, 3 jours d’autonomie et nous sommes drôlement chargés. On attendra que les enfants puissent porter 15 kilos pour tenter l’Overland…  On revient lundi ;O)

Parc national de Maria Island, zéro habitant à temps plein!

Tessellated Pavement, ancient cracks creat a modern phenomenon – Tasman Island –

Bon, nous vous avons assez fait mijoter. Bravo Juliette! Il n’y a pas d’intru. Ici ni munster, ni lasagnes, mais juste du 100% naturel. Cristaux de sel sur la pierre à marée basse, algues vertes toujours à marée basse puis pour finir, le fin du fin, pierres et leurs fissures… à marée basse. Le tout dans un rayon de quelques mètres carrés. Pour la petite histoire, il faut savoir qu’il y a de ça quelques insignifiantes 265 millions d’années la Terre de “l’est tasman” s’est affaissée écorchant et striant les roches de fines et profondes cicatrices. Ces roches soumises aux éléments se sont façonnées un nouveau visage. Lavées par le va-et-vient des marées, séchées par le vent et le soleil, les fissures se sont peu à peu emplies de cristaux de sel s’élargissant  pour être définitivement fossilisées, laissant l’image d’une chaussée de gros pavés irréguliers, alors que les pierres plus proche de la mer ont vu leur revêtement érodé par l’eau et le sel faisant apparaître les joints des fissures en relief, comme de longues soudures cuivrées. Décidément, nous sommes bien peu de chose…

 

Le Cap Raoul se mérite et ce n’est qu’au bout d’une marche de 2h30 entre bush et falaises que nous atteignons ce petit bout du monde. Roches en cheminées, falaises grandioses, vent décoiffant et otaries en contre-bas, le tout enrobé de bleus divers. Belle terrasse pour pic-nic marin à la santé de Raoul ;O) Bon maintenant ..le retour!

Cap Raoul, parc national de la péninsule de Tasman

Sur une route de Tasman Island.

A votre avis, qu’elle est l’intrus ?