Je vous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître…
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Mers les bains en ce temps-là
Accrochait ses lilas Jusque sous nos fenêtres
Et si l’humble garni
Qui nous servait de nid
Ne payait pas de mine
C’est là qu’on s’est connu
Moi qui criait famine
Et toi qui posais nue
“La bohème, la bohème ” *
Ça voulait dire on est heureux
La bohème, la bohème
Nous ne mangions qu’un jour sur deux…
*Charles Aznavour
8 réponses à to “Je vous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître…”
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ça sent encore Le Norrrrd…. -30°! mais pas cher!
C’est beau là! Je suis toute émue!
Bisou les chéris
Nostalgie … Les cabanons de notre enfance, qui doivent encore sentir bon le sapin, avec à l’intérieur les bouées, les sceaux, pelles et râteaux
Ca donne envie d’y retourner tout bientôt.
Merci les photos elles sont cool.
Et des gros bisous à tonton Alain et Tata Marie Claude.
Profitez bien, bizoux.
Merci pour les Mersois(mecs de choix)on le vaut bien
Messages pour les congressiste !!!
Boissons à volonté sa y est marqué !!!!
Si on fait le prochain congrès là-bas, il vas être fuckingement long !!
Trop classe
Bises
Hello les Zamis !!!
On a intérêt à ne pas trop embellir le passé pour désirer encore l’avenir !
Un peu de nostalgie qui fait changer nos souvenirs de place et où l’on s’interroge si ces affiches sont bien un écueil du passé ou sortent tout droit de l’imagination d’un publicitaire contemporain. C’est fou de penser qu’avec environ 10 francs , on pouvait quotidiennement être nourri , logé et accessoirement blanchi !
Superbes photos .
Bonne route et la biz.
Salut les voyageurs
Magnifiques photos, comme d’hab j’ai l’envie de dire, alors je le dis!!!!
Pour la com Roullé c’est pas simple……..
Bonne suite et gros bisous
Les Borghini
Ola,
Des prix comme ça , ça existe encore ou bien ?
Sinon, Aznavour, le matin au réveil, de temps en temps, ça le fait.
Bises et bonne journée aux Bohémiens que vous êtes.
PS : pour la définition de bohémien, il faut la lire avec le sens premier du terme et non la définition galvaudée de notre époque tourmentée.
C’est beau…