Comme des fils tissés, mes souvenirs s’échevèlent,
Les fleurs de l’innocence ont perdu leurs dentelles,
Dans la froideur des jours sans fin, se fanent les belles
Petit logis de l’inconfort, l’hiver a grignoté nos sourires
De l’insouciance de notre enfance, n’avions pas à guérir.
Le temps ne comptait pas pour nous demoiselles,
Chaque jour semblable à l’autre, n’amenait querelles,
En harmonie étions à l’autre pareil dans nos jeux de marelle.
Instant présent suffisait à notre bonheur, cœurs rapprochés
battant à l’unisson, fort en émotions dans une vie peu rêvée
Maintenant tu es partie, abandonnée est notre complicité
Me laissant sur le chemin des regrets.
En perles précieuses, les fleurs de mon souvenir
Sont restées incrustées en rosaces de givre sur les carreaux
Quand chaque hiver glacial nous les envoyait en cadeau !
La photo du jour c'est une nouvelle par jour ou presque! Pour voyager dans notre archives-photographique, vous pouvez cliquer sur le calendrier et (re)voir les photos du mois de mai ou même revenir à notre départ...en Août 2010 ;O)
C un détail!!!!!!!!! non non non c’est plus plus plus qu’un détail ,un détail trop beau !!!!!!! du flou et du beau que neiiiiiiige ! Bizouille de nous
Que de poètes sur cette page.
Bravo à tous
Bises du bout du monde
C’est une photo d’artiste, bravo Philou. papi muso
C’est peut-être … un Détail pour Vous
Mais Pour Moi … ça veut dire Beaucoup
et si le Xav s’en Mêle …
2014 sera ENORME !!!
Oublions 2013 …
Bizatous
Josiane, même pas à Paléo en 2014 pour moi
Xav,
Je connaissais ton côté lyrique. Si, si!!! Mais la, je suis, comment dire, scotché ??,?
Change rien et banzai.
Bises aux 4 Fantastiques.
On ne dirait pas comme ça quand on te voit uniquement au Paléo ……….
Bises à tous
Ca va Xave ?
Fleurs de givre
Comme des fils tissés, mes souvenirs s’échevèlent,
Les fleurs de l’innocence ont perdu leurs dentelles,
Dans la froideur des jours sans fin, se fanent les belles
Petit logis de l’inconfort, l’hiver a grignoté nos sourires
De l’insouciance de notre enfance, n’avions pas à guérir.
Le temps ne comptait pas pour nous demoiselles,
Chaque jour semblable à l’autre, n’amenait querelles,
En harmonie étions à l’autre pareil dans nos jeux de marelle.
Instant présent suffisait à notre bonheur, cœurs rapprochés
battant à l’unisson, fort en émotions dans une vie peu rêvée
Maintenant tu es partie, abandonnée est notre complicité
Me laissant sur le chemin des regrets.
En perles précieuses, les fleurs de mon souvenir
Sont restées incrustées en rosaces de givre sur les carreaux
Quand chaque hiver glacial nous les envoyait en cadeau !
mamin
Et pi c est tout……
Quel poète (pouet pouet)!