Plaine des Jarres…
La plaine des Jarres et sa région ont deux histoires, l’une qui serait vieille de 2500 ans selon certains et l’autre d’à peine 35 ans… La plaine des Jarres des temps anciens comprend plus d’une centaine de sites dont 3 sont aujourd’hui ouvert au public et où sont reparties des jarres en pierre de divers formats. Personne à ce jour ne sait comment ces dernières ont été fabriquées même si plusieurs hypothèses ont été avancées par les chercheurs et archéologues. Certains pensent qu’elles auraient été façonnées ailleurs et transportées à dos d’éléphants où roulées sur les troncs de bois coupés. L’effet est saisissant dans un cadre verdoyant et vallonné entouré de montagnes. Beauté sereine…en surface.L’histoire de la plaine des Jarres des temps moderne, c’est pour demain…
A fond la caisse…
2 Deux lutins Mong sur leur caisse à savon fabriquées avec 3 bouts de ficelle
Hier entre Vieng Xai et Phonsavanh – Laos –
…260 km. en 10 heures, record battu ;O), une multitude d’éboulements après, d’arbres déracinés, de coulée de boue rendant la chaussée impraticable, de camions citernes embourbés jusqu’au châssis nous arrivons de nuit et sous la pluie battante à Phonsavan et la plaine des Jarres
Qu’il est loin mon pays, qu’il est loin…
…Parfois au fond de moi se raniment
L’eau verte du canal du Midi
Et la brique rouge des Minimes
O mon païs, ô Toulouse, ô Toulou ou ou se
Oyez, oyez, amis de Saint-George, Lausanne, Genève et ceux de la terre du milieu, sans oublier nos amis Jurako , du Doubs et même ceux de Toulouse, Lionel fait revivre Nougaro 4 soirées durant au caveau du Château de Mont-sur-Rolle. Régalez-vous, profitez en et envoyez nous quelques notes mélodieuses…
Mais elle est où ta maman…
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Nous sommes arrivés à Sapa station climatique fondée par les Français en 1922, bourgade très touristique du Nord-Ouest du Vietnam. Les femmes des ethnies montagnardes, majoritairement des Hmong, vendent leur artisanat aux touristes qu’elles attendent devant les portes de nombreux hôtels, ou qu’elles poursuivent en courant derrière les mini-bus à leur arrivée. La plupart d’entre-elles, venant de villages assez éloignés, dorment le soir sous les tentes du marché, allongées sur le sol avec leurs nombreuses progénitures. Durant la journée et jusqu’en soirée, les enfants sont livrés à eux-mêmes; les plus âgés (parfois de 5 ou 6 ans seulement) portent leur frère ou soeur sur le dos, vendent de petits porte-clefs ou autres jolis souvenirs et se faufilent, en petits groupes, dans les ruelles et les marchés. A 5 ans, ce sont déjà de vrais petits bouts d’hommes et femmes, sachant se prendre en charge et veiller sur les plus petits! Si ces scènes de vie sont touchantes d’authenticité dans les villages pittoresques de montagnes que nous traversons, elles nous laissent ici une sensation de tristesse et de “désolation”. Le tourisme et son flot de billets colorés a laissé des traces indélébiles, dénaturant la culture ethnique, créant des conflits et des rivalités entre les femmes désireuses de vendre à tout prix et déplaçant des familles entières de leur hameau pour les ruelles encombrées de Sapa.